« Ce n'était pas qu'il lui manquait un cœur: au fond de lui il y avait une peine immense, un vertige sans nom, un gouffre dans lequel il sombrait corps et âme. Simplement, cet homme n'avait jamais appris à pleurer. En revanche, il était capable de faire pleurer le piano blanc, et les notes de musique qui s'écoulaient de son instrument étaient bien plus belles que de vraies larmes. »
Maxence Fermine, Amazone
4 commentaires:
Ces larmes-là doivent être moins amères...
hm la beauté des larmes? ce n'est pas vraiment une référence, je trouve ;-)
Hélène: oui, ces larmes-là peuvent même soulager des autres.
Adrienne: je pense que les larmes de joie ou d'émotion pure peuvent être très belles... comme lorsqu'un auditeur pleure après un concert, par exemple.
Je ne savais pas que Maxence avait rencontré Chopin.
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