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mercredi 19 septembre 2007

Maria Callas, la sublime...

Déjà 30 ans que la grande diva nous a quittés. Une voix sublime, qu'on identifie immédiatement, qui tire souvent les larmes (Ah... son interprétation de « Casta diva » ou dans « O mio babbino caro »...). Un article intéressant sur Evene qui trace un portrait rapide mais qui traite des éléments essentiels. Ou sinon, on peut l'apprécier dans cette entrevue télé accordée en 1964 à Bernard Gavoty. « Je ne change pas, je suis trop rebelle par nature. »

2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Oh oui!
    Mon expérience "Callas", c'est la Traviata: c'est la première fois où j'ai écouté plus que la première face du vinyle (c'était agaçant, de les tourner les uns après les autres) et enfin compris que la Traviata était plus qu'une série d'arias techniques.
    Le seul hic, c'est que j'ai aujourd'hui du mal à l'écouter avec qui que ce soit d'autre.

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