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mardi 26 juillet 2011

Me revoici

Quelques instants en courant, avant de me replonger dans le boulot. Je vous reviens dans les prochains jours pour vous parler de quelques lectures, mais sinon, un simple constat: la plage, c'est chouette, mais les villes et les musées, c'est mieux! J'ai adoré retrouver Philadelphie, que j'ai hantée pendant trois ans, peut-être la seule ville américaine dans laquelle je considérerais m'installer, parce qu'elle déborde d'histoire, d'art, de musique et de théâtre et qu'elle reste de taille humaine. Il y aussi eu New York qui, déjà, à la deuxième rencontre, m'a paru beaucoup plus accessible. Je n'y déménagerais pas, certes, mais je sais que j'y retournerai, histoire d'apprivoiser ses musées (magnifique MoMA et sublime expo Alexander McQueen au Metropolitan), de mieux cerner les différentes personnalités de ses quartiers et puis, il faudra bien que je finisse par y entendre de la musique (et ce, même si le New York Phil sera en tournée à Montréal la saison prochaine)... et je ne parle pas du Big Piano chez FAO Schwartz. (Pour la petite histoire, juste avant que les demoiselles n'interprètent le thème du Rondo alla turca, elles ont demandé s'il y avait des fans de Mozart dans la salle et j'ai levé la main fièrement.)

Je me suis volontairement tenue en retrait des nouvelles, tant internationales que musicales. (Je rattrape le temps perdu en avalant les articles sur la polémique du Festival Verbier et les pré et post-papiers au sujet du passage du Philadelphia Orchestra au Festival Lanaudière.) J'ai bien sûr été atterrée par l'attentat en Norvège et reste renversée par l'onde de paix qui se dégage néanmoins des habitants, quelques jours après la tragédie. Sur une note plus positive, j'étais ravie d'être à New York dimanche, alors que l'état devenait le sixième à permettre les mariages homosexuels. Il y avait quelque chose de très émouvant à imaginer ces centaines de couples se massant à l'hôtel de ville, histoire de légaliser leur union.

2 commentaires:

  1. La vitesse est la mère des bons résumés, quand on en a l'habilité !

    Merci des nouvelles !

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  2. Je sais combien tu aimes les résumés ;-)

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