Oui, le mercure est passé de -5 à +20 dans un clin d’œil ou presque. J'avais oublié combien lire dehors pouvait relever de la pure jouissance. J'en ai donc profité hier pour terminer le dernier Quignard (je vous en reparle bientôt) et lire quelques exemplaires du New Yorker qui s'ennuyaient ferme sur ma table à café depuis quelques semaines (dont un article fascinant sur l'installation vidéo de 24 heures de Christian Marclay, « The Clock », que l'on peut voir ces jours-ci à Ottawa).
Côté musique, je pourrais vous proposer quelques évidences. Que nenni! Plutôt une petite page de Bach, relue par Rachmaninov, interprétée avec grande délicatesse par Daniil Trifonov, à qui l'on ne peut que souhaiter une longue carrière.
Musique sautillante et printanière. J'ai aimé. Je ne pensais pas qu'un pianiste puisse avoir aussi chaud en jouant.
RépondreSupprimerIl va apprécier d'ouvrir la porte sur le dehors et respirer le printemps !
Le pianiste donne cette piécette en rappel et a dû jouer un concerto épuisant avant. :)
RépondreSupprimerEt puis, lui aussi, comme nous, vient d'un pays froid...