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Photo: Andrée Lanthier |
Menant une carrière plus qu’intéressante à Hollywood, l’acteur
montréalais Jay Baruchel remonte pour la première fois sur les planches
depuis l’école secondaire dans le rôle-titre de
Sherlock Holmes de
Greg Kramer. Il exsude la suavité et l’assurance presque arrogante du
mythique détective londonien. Il possède également ce côté légèrement
décalé – qui faisait tout le charme du film
Le Trotski
d’ailleurs – qui rend le personnage instantanément crédible et
attachant. Pourquoi alors ai-je eu l’impression que, malgré de
nombreuses qualités, la pièce ne lève pas entièrement, qu’elle n’a pas
atteint son plein potentiel expressif? L’ombre de l’auteur, Greg Kramer,
mort des suites d’une longue maladie aux premiers jours des
répétitions, aurait-elle été trop oppressante? A-t-on refusé les
ajustements – qu’il aurait sans doute lui-même pratiqué, surtout qu’il
se destinait le rôle de Lestrade – de peur d’être accusé de trafiquer
son œuvre?
Vous pouvez lire la suite de ma critique
sur le site de la revue Jeu...
Je suis toujours curieuse des adaptations de Sherlock, si difficile à cerner comme personnage... avoir été au bon endroit au bon moment, je serais certainement passée par cette salle...
RépondreSupprimerÇa t'aurait plu je pense, malgré les imperfections.
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