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mercredi 25 septembre 2013

Le murmure du coquelicot: impression mitigée

Depuis le 19e siècle, on rêve à l’œuvre d’art totale (Gesamtkunstwerk), union entre les disciplines artistiques à la portée métaphysique. Peut-on associer le côté spectaculaire du cirque à celui intimiste du théâtre, les lier par des prestations musicales? Croyant pouvoir répondre par l’affirmative, l’inspirant collectif Les 7 doigts de la main n’a pu résister à l’invitation de Lorraine Pintal d’habiter autrement les planches du TNM.
Peut-on passer en quelques secondes des oh! et ha! d’émerveillement suscités par une prouesse circassienne au silence intérieur nécessaire pour apprivoiser une histoire d’enfance hypothéquée, d’amours déçues, de projets avortés? Les attentes étaient probablement trop élevées et, malgré quelques tableaux particulièrement réussis (le numéro de mat chinois, celui de trapèze à deux, les duos juxtaposés entre guitaristes et acrobates), on sort de la salle déçu, en se demandant toutefois comment Le murmure du coquelicot aurait pu relever son pari.

Pour lire le reste de ma critique, c'est ici...
Pour voir un extrait du spectacle sur le site de La Presse.

2 commentaires:

  1. Ah, tu réponds à ma question... c'était exactement ma crainte. Pourtant, j'aime beaucoup ce que les 7 doigts de la main font habituellement!

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  2. S'ils passent par chez toi et que ce n'est pas cher, sinon...

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