J'aime que, grâce à la technologie, les frontières entre les gens et les continents disparaissent. Cette semaine, j'ai reçu un appel de l'Orchestre royal du Maroc qui souhaitait réutiliser un de mes articles, écrit en 1999. (C'est fou comme on change en 11 ans; j'ai donc procédé à quelques ajustements essentiels.) J'en ai profité pour échanger avec son directeur sur les difficultés de transmettre la musique classique dans un pays musulman, qui n'a pas toujours les références pour l'apprécier, notamment la critique, inexistante ou presque.
Et puis, ce midi, alors que j'espérais un cadeau d'anniversaire pris quelque part entre l'Allemagne et ici, je reçois un cadeau de Noël et une carte estampillée de Paris, totalement inattendus. J'admets que j'aurais de la difficulté à vivre sans le courriel, l'Internet, skype, MSN, les postiers, mais surtout sans le plaisir de pouvoir échanger librement.
Et si, au fond, Noël, ce n'était que ça: écouter l'autre, en sachant qu'il nous écoute aussi attentivement. Je reste persuadée que le monde s'en porterait certainement mieux!
Joyeuses fêtes à vous!
c'est sûr!
RépondreSupprimerbonnes fêtes, Lucie, et vive l'internet :-)
Joyeuses fêtes Lucie! Have fun!
RépondreSupprimerJOYEUX NOËL LUCIE :-)
RépondreSupprimerAdrienne: Quelle belle invention qu'Internet! :)
RépondreSupprimerKarine: pour le moment, mon corps hurle « Assez! » et je suis au repos forcé...
Margotte: Joyeux Noël à toi Margotte!