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vendredi 11 janvier 2013

Spasmes: une image vaut mille mots

 Proposé comme un « déambulatoire, entre arts visuels et arts scéniques », Spasmes se veut un troublant hommage à l’univers de Francis Bacon. Au fil d’un spectacle misant avant tout sur la physicalité et la plastie, quiconque a suffisamment fréquenté l’œuvre du peintre iconoclaste reconnaîtra certaines torsions des corps liées à une toile, une composition graphique ou même certaines transpositions de coups de pinceau.

La metteure en scène Carole Nadeau, qui signe également certains des textes et lit en fin de parcours des passages des magnifiques 158 fragments d’un Bacon explosé de Larry Tremblay, a voulu proposer une expérience sensorielle avant tout. Au fil de « stations », disposées un peu partout dans l’Espace libre, qui mèneront à une crucifixion inversée d’une puissance certaine, le spectateur est tour à tour confronté à un délire vaguement décalé,  à des instants absolument savoureux et à d’autres qui s’étirent inutilement.

Je vous invite à lire le reste de ma critique sur le site de la revue Jeu. Il vous reste deux occasions (ce soir et demain) de vivre une expérience hors de l'ordinaire.

Vous noterez également l'ajout dans la colonne de droite de la section « Lucie va au théâtre » qui vous permettra de suivre mes rencontres théâtrales.

2 commentaires:

  1. Très heureuse de voir une section théâtre chez toi :)

    Tu sembles avoir vécu une expérience bien originale. C'est chouette !

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  2. Mettons ça dans la catégorie « résolutions bloguesques » 2013 :)

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