Il y a quelque chose de fascinant dans cette lecture en strates proposée par L’autre hiver.
On y devine Verlaine et Rimbaud comme à travers un kaléidoscope. On y
reconnaît la langue si particulière de Normand Chaurette. On retrouve
l’esthétique de Denis Marleau et Stéphanie Jasmin, prolongement des Aveugles de Maeterlinck.
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