« Je l’ai déjà dit à l’un de vos collègues : un bon livre c’est quand on a envie de tourner les pages pour connaître la fin de l’histoire et qu’on se retient de le faire par crainte de rater les qualités de l’écriture… » (p. 53)« Selon lui, la première phrase devrait être comme une fenêtre ouverte, une lumière dans la nuit ou le sourire d’une inconnue, c’est-à-dire une chose si attirante et séduisante qu’on ne puisse résister à l’envie de lire la suite. » (p. 120)Jacques Poulin, Les yeux bleus de Mistassini
Parfois, on a besoin de retrouver un auteur après deux ans pour que l'admiration qu'on lui porte ressurgisse, intacte...
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