Le film avait beaucoup fait parler de lui lors de sa sortie européenne et j’avais très hâte de découvrir si les vivats étaient mérités. (Je me méfie parfois des engouements massifs.) J’ai donc saisi la première occasion possible au retour de mes vacances pour me glisser en salle pour voir Le Concert, film de Radu Mihaileanu. J'admets que, le moment venu d'acheter mon billet, j'ai trouvé particulièrement délicieux le paradoxe d'annoncer « un billet pour le concert ». En tout autre circonstance, je me serais fait demander: « Oui, bien sûr, mais lequel? »
Vous pouvez lire ma critique du film sur le blogue Analekta, ici...
6 commentaires:
ton commentaire sur Analekta colle parfaitement avec l'idée que je m'étais faite en voyant la bande-annonce: pas de vraisemblance mais de l'humour, de la chaleur humaine, et l'amour de la musique... et ça me donne envie de le voir!
merci, Lucie!
J'ai vraiment passé un super moment... et dire que ça a réussi à me réconcilier avec le concerto de Tchaïkovski (surjoué!) n'est pas rien...
ah bon? on peut donc se lasser d'une belle musique?
;-)
pour certains morceaux j'ai mon "interprétation idéale" sur CD et après j'ai du mal à en apprécier une autre, parce que j'entends toutes les petites différences au lieu d'entendre "la musique" (je ne sais pas si je me fais bien comprendre)
C'est intéressant cette notion d'« interprétation idéale » qui te suit et, oui, je comprends ce que tu veux dire. Dans mon cas, c'est un peu différent car j'ai rarement une interprétation « parfaite » en tête, plutôt un composite ou, pire peut-être ;-) ma propre version si c'est un truc pour piano.
Mais, oui, quand on est dans le milieu depuis un moment, on finit par être très blasée et se lasser de la Cinquième de Beethoven (plus capable!), du Concerto de Tchaïkovski ou de l'horribilus Canon de Pachelbel. :)
d'accord pour ce pauvre Pachelbel ;-) ou à l'époque du film Ten (je crois que c'était ce titre-là) le Boléro de Ravel...
En plus, tu sais que le fameux Boléro est un peu la « signature » de l'Orchestre symphonique de Montréal (depuis qu'ils ont vendu des centaines de milliers de copies du disque dans les années 1980)? Là aussi, par pitié, pas trop souvent... :)
(Et, oui, c'était bien Ten)
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