Quatre collaborateurs ont lu ce mois-ci L’amour des maîtres de Mélissa Grégoire, roman initiatique qui refuse toute facilité et se veut un hommage à la littérature et à la transmission du savoir. Je ne saurais trop vous recommander de vous pencher sur le questionnaire de notre auteure. Elle y dit notamment :
« La vague du romanesque (dépaysement culturel, spatial, temporel, etc.) qui souffle actuellement sur le Québec et qui fait qu’une jeune écrivaine d’ici décide d’enraciner son personnage dans l’horreur des goulags trahit, selon moi, une difficulté d’assumer ce « je ». C’est symptomatique non seulement d’un malaise identitaire, mais aussi du malentendu qui subsiste en littérature (l’écrivain n’a de mérite que s’il réussit à s’abstraire de sa propre histoire). »Je vous invite à lire le reste de mon édito et à découvrir notre numéro courant ici...
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