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Je pensais avoir épuisé toutes les possibilités. Erreur, Watson... Vendredi dernier, je décide de décrocher quelques instants et me plonge dans le Châtelaine de juin. (Eh oui, je lis autre chose que Le monde de la musique ou Gramophone!) Je n'ai pas été tant absorbée par les recettes de grillades ou un article fort intéressant sur les taxis roses russes (service géré par des femmes pour des femmes) que par les souvenirs de vacances de cinq écrivains. En fait, un en particulier: Éric Dupont, qui, avec une plume particulièrement poétique, racontait l'histoire d'un voyage à Naples mais surtout d'une amitié comme il en existe trop peu.
Deux jours après, j'étais en bibliothèque, afin de ramener un titre - n'importe lequel - de l'auteur (son livre La logeuse ayant remporté le combat des livres 2008). Je n'ai pas eu l'embarras du choix puisque seul son dernier titre, Bestiaire, à caractère autobiographique, était disponible - et mis bien en évidence sur une table d'auteurs québécois. Alors, depuis quelques jours, je suis plongée dans cet univers vaguement déjanté, récit d'une enfance gaspésienne pourtant semblable à tant d'autres mais narré avec une grande puissance d'évocation. Décidément, les sources d'inspirations sont partout...
2 commentaires:
Et tu ne parles pas de la contagion. Comme là, tu essaies que j'attrape l'envie de connaître cet auteur. Eh bien, tu m'auras pas !
Pssst ! En fait, tu m'as pas parce que je l'avais déjà.
Ha! ha! la contagion... je n'y avais pas pensé! Bien vu!
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