« Une amie auteure m'a récemment fait remarquer qu'il serait facile de dynamiser le marché du livre québécois. On lit partout que la situation est précaire, que les éditeurs en arrachent et que les auteurs ne vendent plus. Facile, me confie mon amie, on n'a qu'à acheter plus de livres!
Oh, si ce n'est que ça! Réglons le problème maintenant!
Donc, le 12 août, je me déplace chez mon libraire préféré et j'achète un livre québécois. Si je ne trouve pas celui que je veux? Je le commande. S'ils ne peuvent pas me le commander? Je fais une crise. Ou je l'achète en numérique, tiens. »
Je serai assurément chez Olivieri (comme si j'avais besoin d'une raison pour y faire un tour!), ma librairie indépendante préférée. Aucune crise potentielle à craindre. Qu'en rapporterai-je? Là est la question...
Mon amie Venise parle fort bien de l'événement ici...
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