Simon Boulerice avait frappé fort avec son roman Javotte en 2012 qui raconte l’avant-Cendrillon. Si Javotte dans le premier segment du livre semble irrémédiablement mauvaise, peu à peu, presque malgré lui, le lecteur finit par éprouver une empathie, puis une sympathie pour celle-ci, alors qu’elle cherche la reconnaissance dans les endroits les plus improbables (le lit de Stéphane, père de son ennemie jurée Carolanne notamment) et, rêve comme tant de jeunes filles, au prince charmant (le beau Luc Harvey, son voisin, bien sûr un douchebag de la pire espèce).
Jean-Guy Legault signe une adaptation en tout point fidèle au roman, n’omettant aucun élément...
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