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Photo: Luc Lavergne |
Le Théâtre Advienne que pourra nous avait offert une relecture concluante desAventures de Lagardère, mais cette fois, avec Le tour du monde en 80 jours, il présente un spectacle pour tous particulièrement réussi, rodé au quart de tour, qui ne laisse aucun instant de répit au spectateur, petit ou grand.
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Photo: Luc Lavergne |
Ces 90 minutes filent comme l’éclair, au fond comme ce voyage complètement fou entrepris en 1872 par Phileas Fogg, gentleman sans trop d’envergure, à la vie réglée à la seconde près, qui fait le pari insensé pour l’époque d’un tour du monde à vitesse grand V. Aidé de son fidèle serviteur Passepartout, qui a plus d’un tour dans son sac, il avale les kilomètres, de Londres à Suez à Bombay puis Calcutta, sauvant d’une mort certaine la princesse Aouda «parce qu’il a le temps», avant de mettre pied en Chine, au Japon, puis en Amérique, revenant bien sûr à la date dite à Londres, au grand dam de ses partenaires de whist.
Cinq acteurs incarnent les 36 personnages avec un plaisir évident. Pour lire le reste de ma critique, passez
sur le site de Jeu...
La pièce est présentée à la Salle Fred-Barry jusqu'au 19 décembre.
2 commentaires:
bonne fête de la Sainte-Cécile, Lucie!
Merci de me le rappeler! :)
Bonne fête de la Saint-Cécile à toi également!
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