Un génie certes, mais surtout un homme, avec tout ce que cela comporte.
Saviez-vous que...
·
· À 14 ans, il aurait ainsi parfaitement retranscrit le Miserere d’Allegri, une œuvre complexe qui dure environ quinze minutes, en ne l'ayant écouté qu’une seule fois ?
· Ce sera Johann Christian Bach, le fils cadet de Johann Sebastian Bach, rencontré à Londres, qui lui fera découvrir le pianoforte, l’opéra italien et lui apprendra les bases de la symphonie?
· Intéressé également par la science, il devient membre de l’Accademia filarmonica de Bologne en 1771, à l’âge de 15 ans, alors qu’en principe on n’admettait que des membres âgés de plus de 20 ans?
· Mozart était profondément attaché à une certaine tradition et a analysé en détail la perfection de la fugue chez Bach avant de s’essayer au genre?
· Mozart a changé irrévocablement le visage de l’opéra allemand? Avec Die Entführung aus dem Serail (L’enlèvement au sérail), pour la première fois, l’opéra s’adresse au peuple dans sa langue maternelle. Gluck, lui-même compositeur d’opéra et directeur des concerts publics à Vienne, sera un des premiers à féliciter Mozart.
· À 14 ans, il aurait ainsi parfaitement retranscrit le Miserere d’Allegri, une œuvre complexe qui dure environ quinze minutes, en ne l'ayant écouté qu’une seule fois ?
· Ce sera Johann Christian Bach, le fils cadet de Johann Sebastian Bach, rencontré à Londres, qui lui fera découvrir le pianoforte, l’opéra italien et lui apprendra les bases de la symphonie?
· Intéressé également par la science, il devient membre de l’Accademia filarmonica de Bologne en 1771, à l’âge de 15 ans, alors qu’en principe on n’admettait que des membres âgés de plus de 20 ans?
· Mozart était profondément attaché à une certaine tradition et a analysé en détail la perfection de la fugue chez Bach avant de s’essayer au genre?
· Mozart a changé irrévocablement le visage de l’opéra allemand? Avec Die Entführung aus dem Serail (L’enlèvement au sérail), pour la première fois, l’opéra s’adresse au peuple dans sa langue maternelle. Gluck, lui-même compositeur d’opéra et directeur des concerts publics à Vienne, sera un des premiers à féliciter Mozart.
· Mozart était un grand épistolier, qui aimait
évoquer dans ses lettres aussi bien soirées au concert, défis de création que
mots tendres et calembours?
· Même s’il créait des œuvres jour après jour, il n’aimait rien tant que de faire une partie de billard avec ses amis ou jouer aux charades?
· Il n’a pas hésité à accepter les commandes (opéras, concertos, symphonies) mais en repoussera constamment les limites.
· Plusieurs compositeurs portent un respect infini à Mozart, dont Schubert, Mendelssohn (lui aussi enfant prodige), Tchaïkovski (qui écrira notamment Mozartiana), Rossini (qui reprendra les personnages du Mariage de Figaro dans son Barbier de Séville), Chopin (qui aurait demandé à écouter du Mozart sur son lit de mort) et Dvorak (le Requiem de Mozart sera joué à ses funérailles).
· La musique de Mozart reste l’une des plus jouées aujourd’hui et continue de posséder un caractère universel, qui rejoint les publics de tous les continents.
· Même s’il créait des œuvres jour après jour, il n’aimait rien tant que de faire une partie de billard avec ses amis ou jouer aux charades?
· Il n’a pas hésité à accepter les commandes (opéras, concertos, symphonies) mais en repoussera constamment les limites.
· Plusieurs compositeurs portent un respect infini à Mozart, dont Schubert, Mendelssohn (lui aussi enfant prodige), Tchaïkovski (qui écrira notamment Mozartiana), Rossini (qui reprendra les personnages du Mariage de Figaro dans son Barbier de Séville), Chopin (qui aurait demandé à écouter du Mozart sur son lit de mort) et Dvorak (le Requiem de Mozart sera joué à ses funérailles).
· La musique de Mozart reste l’une des plus jouées aujourd’hui et continue de posséder un caractère universel, qui rejoint les publics de tous les continents.
En complément, une vidéo d'un air de Don Giovanni, chanté par le jeune Britannique Ashley Riches, qui redéfinit le concept même de la sérénade au balcon, découverte sur le site de Norman Lebrecht...
5 commentaires:
Nous sommes entièrement au diapason, Lucie :-)
Quand il est question de Mozart, aucune hésitation! :)
En ce lundi midi, je m'autorise une petite pause pour le lunch et je viens faire un tour par ici.
Je ne m'attendais pas à manger ma pomme en écoutant Mozart ! Ce fut délicieux ! :-)
Merci Lucie, à bientôt.
Contente de savoir que Mozart ait accompagné ton repas! :)
Joli article ! Allez, je vais de ce pas écouter le requiem.
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