Peut-on intégrer la gigue contemporaine à un classique de la dramaturgie québécoise sans en travestir le propos? La proposition de la metteure en scène et chorégraphe Menka Nagrani peut sembler déroutante sur papier, mais quelques instants suffisent pour réaliser comment le geste peut se révéler le moteur idéal pour transmettre les tensions entre ces trois frères et favoriser une nouvelle lecture du Chemin des passes dangereuses de Michel-Marc Bouchard.
Pour lire ma critique, passez chez Jeu...
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