Prolifique chorégraphe, Sidi Larbi Cherkaoui n’a pas son pareil pour estomper les frontières entre les genres, que l’on pense à Sutra qui mettait en scène des moines du temple Shaolin ou Babel, collaboration avec Damien Jalet et le plasticien Anthony Gormley. Avec M¡longa, il nous propose un tango à la fois pur et métissé, les lignes d’une extrême élégance de dix maîtres argentins exceptionnels se juxtaposant à celle de deux danseurs contemporains.
Pour lire ma critique, passez chez Jeu...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire