Certains musiciens détestent le concert. Pour ma part, j’ai toujours mieux joué devant un public (même intime) que seule dans mon studio de répétition. Certains aiment le réconfort d’une routine apaisante; elle me fait grincer des dents, viscéralement. Incapable de vivre dans le carcan du 9 à 5, j’assume mes débordements, et ce, même quand, parfois – souvent – je me retrouve avec plus de défis à relever que d’heures dans une journée. Après 11 ans de publication papier, je lance donc La Muse affiliée dans le grand monde… le virtuel. À une époque où les médias imprimés en arrachent et les quotidiens ferment leurs portes, il m’a semblé logique d’agrandir son réseau d’influences en la positionnant comme un nouveau joueur plus important d’Internet.
En prenant ce virage technologique, je souhaite surtout que des liens se tissent entre les professeurs d’ici et d’ailleurs. À l’heure où les experts se désolent et où les ventes de disques classiques sont en chute libre, osons l’optimisme et utilisons la technologie à notre avantage. Nous ne parlons pas une langue morte. Assumons-la entièrement.
Je vous invite à consulter le dernier numéro (version papier) ici et à revenir fureter au http://museaffiliee.com quand bon vous semblera!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire