Photo: Anne-Flore Rochambeau |
Peut-on vivre à la fois en société et en marge de
celle-ci? Jusqu’à quel point peut-on – doit-on – vivre pour les autres? De quoi
a-t-on réellement besoin? Autant de questions soulevées dans ce récit publié en
2011, lauréat du Médicis Essai, qui raconte les six mois d’ermitage que Sylvain
Tesson a passés dans une cabane au bord du lac Baïkal. « J’ai appris à m’assoir
devant une fenêtre. » C’est d’ailleurs dans ce qui en tient lieu, au
milieu de 16 cordes de bois, que des extraits du texte sont projetés, auxquels
Éric Robidoux réagit en gestes, pas tant illustration du propos que complément.
Pour lire le reste de ma critique, passez chez Jeu...
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