mardi 8 juin 2010

Ute dans Weill

Parfois, on trouve de petits bijoux en jouant au « ping-pong » sur Youtube, à comparer des interprétations. Des notes à écrire sur un programme vocal aujourd'hui et je tombe sur cette interprétation, à donner le frisson... Alors, je partage!

Pour les visuels, vous pouvez y accéder en cliquant ici (je ne peux malheureusement pas intégrer la vidéo à ce billet). Pour les auditifs, cliquez sur le disque que voici pour une vision encore plus dramatique. La plage à écouter de toute urgence: Je ne t'aime pas...


2 commentaires:

Lucie a dit…

Je suis tellement d'accord... Je suis une régulière de la philharmonie de Berlin depuis un petit temps et j'en ai connu des pareils ! L'un que sa femme a gentiment secoué car il se mettait à ronfler trop fort, et l'autre qui a mis tout un mouvement à déballer un satané bonbon (non mais ils ont quel âge ??). Je trouve personnellement qu'un autre dérangement de taille sont les éternels toussotements entre et pendant les morceaux (http://oberbaum.blogspot.com/2010/01/les-vieux-mal-eleves-et-un-vin-chaud.html)... Ca devient nerveux et ca m'écoeure!

C'est la première fois que je commente chez toi, mais je voulais aussi dire, j'aime bien ici ;o)

Lucie a dit…

Tu as commenté sous Ute plutôt que le bon billet (oui, je sais, c'est un peu à se prendre la tête cette idée de mettre les liens commentaires en haut, pas ma faute, désolée!) mais je trouve que, au fond, considérant que tu es berlinoise de cœur, c'est tout à fait cohérent! :)
Moi qui me meurs d'aller entendre le Philharmonique de Berlin, après ton billet, je sais plus... ;-)