Je prends l'avion pour l'Europe demain soir et ai l'impression de courir un marathon... Au programme: cinq jours à Bruxelles et cinq à Paris. Je ferai le plein de visite de musées (dont celui des instruments de musique bien sûr!), de concerts (musique contemporaine, classique, la comédie musicale An American in Paris au Châtelet) et de théâtre, alors que je mettrai les pieds pour la première fois à la Comédie-Française, pour voir l'adaptation d'Olivier Meyrou (qui avait collaboré au spectacle Acrobates présenté au Festival Montréal Complètement Cirque l'été dernier) de La petite fille aux allumettes d'Andersen, un auteur que j'aime énormément. Et puis, il y aura tous ces amis que je croiserai dans l'une ou l'autre de ces capitales...
Je pars avec tout au plus deux ou trois livres dans mes valises (hormis mes guides et cartes), histoire de pouvoir en rapporter d'autres. À bientôt!
La musique et l’écriture ont été de tout temps les deux pôles de la vie créatrice de l'auteure. Ce site se veut donc un hommage à la musique (particulièrement classique) et à la littérature, mais aussi au théâtre et aux autres manifestations artistiques.
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mercredi 26 novembre 2014
lundi 12 mai 2014
11 révélations...
1- Oui, je mesure 1 m 75 (certains diront plus à cause de mes cheveux, mais bon...), mais non, je n'ai jamais joué au basket - ni jamais ressenti aucune envie de le faire. Selon les années, j'ai beaucoup joué au handball, au badminton, au soccer (sport idéal pour les mains de pianiste, contrairement au volleyball, qui me plaisait bien pourtant).
2- Ma mère, qui est minuscule (je l'ai dépassée, j'avais 9 ans), me présente encore à ses amis comme « ma p'tite ». Hum...
3- J'écoute de tout, mais déteste la musique nouvel âge. L'enveloppement aux algues avec un remix du Canon de Pachelbel avec chants de baleines intégrées, très peu pour moi. (Ceci explique sans doute pourquoi je ne fréquente pas les spas.)
4- Je n'ai pas écouté de musique pop avant d'avoir 12 ans. Eh oui, incroyable mais vrai, j'ai été élevée exclusivement dans la musique classique. Quand j'ai découvert, avec passablement de retard, les Beatles (le groupe était déjà bien sûr dissolu), ce fut une révélation.
5- Tout le monde se meurt de faire un voyage en Asie, mais pas moi. Vous m'offrez six mois à Perth ou Ouagadougou ou deux semaines en Chine ou en Japon, je choisis indéniablement les premières options.
6- J'ai par contre traversé presque tout le Canada en voiture, enfant. Il me reste à découvrir le Yukon et les territoires, ainsi que Terre-Neuve, qui a l'air absolument magnifique.
7- J'ai appris à lire dans un dictionnaire, Mon premier Larousse, dont les pages avaient l'air de ça. (Je ne l'ai malheureusement pas gardé.) Ma mère semble-t-il s'est lassée de me faire la lecture des boîtes de conserve et autres mots qui croisaient quotidiennement ma route. Je savais lire avant de rentrer en première année.
8- Mon père est celui qui m'amenait à la bibliothèque toutes les semaines. Quand j'ai eu écumé celle des enfants (vers 8 ans), il m'a permis de le suivre du côté des adultes, mais « surveillait » alors mes lectures. J'ai ainsi lu les Arsène Lupin, Sherlock Holmes et de multiples Agatha Christie.
9- J'aime le beurre d'arachides, mais pas mélangé à des trucs sucrés (biscuits, crème glacée, friandises chocolatées...). J'aime bien par contre satays et raviolis sauce aux arachides. Ma première histoire publiée - dans le journal de l'école primaire - s'appelait d'ailleurs... Du beurre d'arachides sur Mars.
10- Je suis toujours incapable de manger des abats. Ma mère m'avait assise devant une assiette de foie de veau un midi, avec l'interdiction de me lever de table avant d'avoir terminé. Elle a fini par abdiquer deux heures après que tout le monde eut terminé de manger.
11 - Je n'ai lu qu'un seul tome de La Recherche, Du côté de chez Swann, dans le cadre d'un cours « Cinéma et littérature ». J'ai par contre lu des nouvelles de Proust, quelques poèmes. Un jour peut-être... mais il y a tant d'autres livres, n'est-ce pas?
Alors, maintenant, les questions que me refilent Marion...
1. Ton cadre préféré (géographique et historique) en littérature?
Je n'ai pas d'époque ou de lieu chouchou. De fait, je lis très peu de romans historiques.
2. Un thème qui t'émeut à coup sûr (dans les livres ou au cinéma)?
La maltraitance.
3. Dans ta bibliothèque, de quelle couleur sont la majorité des ouvrages?
Un peu plus de couvertures blanches peut-être, mais il y a vraiment des tranches de toutes sortes de couleurs (et mes numéros de la revue Jeu ajoutent assurément une touche de gaieté à l'étagère théâtre).
4. Toujours dans ta bibliothèque, quel est le livre que tu possèdes depuis le plus longtemps?
Contes des pays de neige d'Adrienne Ségur.
5. Tu aimes lire en croquant dans..../en picorant des.../ en sirotant...
Je sirote parfois un thé ou une autre boisson, mais ne mange pas en lisant un livre, par peur de le tacher.
6. Pour bouquiner, plutôt balancelle dans le parc ou transat au bord de la piscine?
Les deux idées me plaisent.
7. T'arrive-t-il de lire dans le bain?
Jamais. Si je prends un bain, c'est que je suis malade ou alors j'y écouterai plutôt de la musique.
8. Ton marque-page préféré?
Je n'ai pas d'attachement sentimental à un marque-pages en particulier, mais ai un pot de marque-pages, dans lequel je pioche au gré des envies. Parfois, un billet de spectacle fait tout aussi bien l'affaire.
9. Une photo de la librairie de tes rêves.
J'étais dévastée quand j'ai appris que La Hune avait fermé à Paris. J'adorais cet endroit. À Montréal, je bouquine chez Olivieri, que j'adore.
10. Parmi les héros-héroïnes de séries télé/ films qui écrivent, qui préfères-tu?
Christian (Ewan McGregor) dans Moulin Rouge peut-être ou sinon, dans un autre registre, Jessica Fletcher (Angela Lansbury) dans Murder, She Wrote.
11. Ecrire un livre? Oui mais....
Oui. Pas de mais.
mercredi 25 décembre 2013
Joyeux Noël!
Un très joyeux Noël à vous tous! Puissiez-vous, au milieu du tourbillon des festivités, prendre quelques instants pour vous retrouver avec un livre ou un disque, contempler la neige qui tombe mollement ou le feu qui crépite dans la cheminée ou vous rappeler la douceur des bras de l'être aimé.
lundi 7 octobre 2013
Des bibliothèques inusitées
Mes livres sont rangés, par genre (québécois, autres, poésie, théâtre, essai, allemand), en ordre alphabétique (sauf la PAL et l'étagère des services de presse, bien sûr), dans trois bibliothèques Hemnes foncées. Les livres de musique et les partitions sont bien sûr avec mes instruments, dans des étagères blondes. D'une banalité déconcertante, il faut l'admettre, surtout quand j'ai découvert ces bibliothèques dans l'édition d'hier de Flavorwire...
Je craque... |
Tout le monde a bien sûr une Jaguar qui traîne à recycler en bibliothèque... |
Pour Karine et les fans de Dr Who... |
mercredi 21 septembre 2011
Aimer faire
Une question me fait grincer des dents plus peut-être que tout autre: « Que fais-tu dans la vie? » Cette manie d'associer aux gens des étiquettes m'horripile et surtout me laisse toujours profondément démunie, avec la conviction qu'il n'y a ici aucune bonne réponse. Si je commence à énumérer le titre de mes multiples emplois, j'ai l'air de vouloir étourdir l'auditeur, surtout que je brandis une série de professions que les gens ne connaissent pas vraiment: professeur de piano peut encore passer (quoi que...) mais quand j'en arrive à rédactrice et journaliste spécialisée en musique classique « mais qui couvre également le théâtre et la littérature », généralement, je perds le client. Je n'ose pas ajouter traductrice et réviseure, même si ce sont des activités que je pratique sur une base quasi quotidienne. J'ai généralement droit tout au plus à un « Ah... eh bien... », avant que mon interlocuteur ne cherche désespérément une autre victime à punaiser.
Un ami m'a envoyé un SMS hier, m'expliquant qu'il avait enfin trouvé une façon de contourner cette fâcheuse propension à l'étiquetage. « Plutôt que de demander ce que les gens font dans la vie, on pourrait leur demander ce qu'ils aiment faire. » Quand même... Il nous faudrait un groupe-témoin, histoire de tester le concept. J'imagine fort bien les mâchoires décrochées de la plupart des interpellés. Il faudrait sans doute insister. « Vraiment, ça m'intéresse. Dites-moi tout. » Tentant, non?
Si je réponds moi-même honnêtement à la question, je suis obligée d'admettre que mes divers emplois sont le reflet de l'une ou l'autre de mes passions et que je dois donc me considérer choyée. Alors, pêle-mêle ou presque...
Là aussi, aurais-je perdu mon interlocuteur? Fort probablement, mais celui qui n'aurait pas pris ses jambes à son cou aurait vraisemblablement eu beaucoup à m'apprendre. Alors demander et répondre autrement la prochaine fois que les circonstances s'y prêteront ou non? Intéressant dilemme à considérer.
Un ami m'a envoyé un SMS hier, m'expliquant qu'il avait enfin trouvé une façon de contourner cette fâcheuse propension à l'étiquetage. « Plutôt que de demander ce que les gens font dans la vie, on pourrait leur demander ce qu'ils aiment faire. » Quand même... Il nous faudrait un groupe-témoin, histoire de tester le concept. J'imagine fort bien les mâchoires décrochées de la plupart des interpellés. Il faudrait sans doute insister. « Vraiment, ça m'intéresse. Dites-moi tout. » Tentant, non?
Si je réponds moi-même honnêtement à la question, je suis obligée d'admettre que mes divers emplois sont le reflet de l'une ou l'autre de mes passions et que je dois donc me considérer choyée. Alors, pêle-mêle ou presque...
- J'aime lire, apprendre, transmettre. Déjà, à huit ans, j'aidais le professeur avec une élève en difficulté et à dix ans, malgré ma timidité (qui s'est soignée), je pouvais parler pendant une heure des écureuils ou de l'imprimerie. Maintenant, je suis celle qui parle de musique classique dans des endroits assez saugrenus, du bureau du dentiste (qui m'a demandé il y a quelques semaines, vaguement intimidé, si j'avais été un prodige, avant que je n'éclate d'un rire impossible à contrôler) à une cérémonie de graduation.
- J'aime écouter, la musique, les autres, les oiseaux, la vie qui bat.
- J'aime jouer du piano, que ce soit pour moi ou avec ou pour d'autres, devenir ce canal de communication directe entre un compositeur et un auditeur, à première vue nullement liés.
- J'aime les voyages et les rencontres qu'ils sous-entendent, n'avoir qu'une seule certitude quand on part: qu'on reviendra autre.
- J'aime être émue par ce que je vois, j'entends, savoir sans réaliser encore comment que ce tableau qui m'aura chavirée, ces phrases d'un auteur, cette modulation, sera transmise autrement, dans deux mois, trois ans, dans un article, une note de programme, une nouvelle.
Là aussi, aurais-je perdu mon interlocuteur? Fort probablement, mais celui qui n'aurait pas pris ses jambes à son cou aurait vraisemblablement eu beaucoup à m'apprendre. Alors demander et répondre autrement la prochaine fois que les circonstances s'y prêteront ou non? Intéressant dilemme à considérer.
mardi 26 juillet 2011
Me revoici
Quelques instants en courant, avant de me replonger dans le boulot. Je vous reviens dans les prochains jours pour vous parler de quelques lectures, mais sinon, un simple constat: la plage, c'est chouette, mais les villes et les musées, c'est mieux! J'ai adoré retrouver Philadelphie, que j'ai hantée pendant trois ans, peut-être la seule ville américaine dans laquelle je considérerais m'installer, parce qu'elle déborde d'histoire, d'art, de musique et de théâtre et qu'elle reste de taille humaine. Il y aussi eu New York qui, déjà, à la deuxième rencontre, m'a paru beaucoup plus accessible. Je n'y déménagerais pas, certes, mais je sais que j'y retournerai, histoire d'apprivoiser ses musées (magnifique MoMA et sublime expo Alexander McQueen au Metropolitan), de mieux cerner les différentes personnalités de ses quartiers et puis, il faudra bien que je finisse par y entendre de la musique (et ce, même si le New York Phil sera en tournée à Montréal la saison prochaine)... et je ne parle pas du Big Piano chez FAO Schwartz. (Pour la petite histoire, juste avant que les demoiselles n'interprètent le thème du Rondo alla turca, elles ont demandé s'il y avait des fans de Mozart dans la salle et j'ai levé la main fièrement.)
Je me suis volontairement tenue en retrait des nouvelles, tant internationales que musicales. (Je rattrape le temps perdu en avalant les articles sur la polémique du Festival Verbier et les pré et post-papiers au sujet du passage du Philadelphia Orchestra au Festival Lanaudière.) J'ai bien sûr été atterrée par l'attentat en Norvège et reste renversée par l'onde de paix qui se dégage néanmoins des habitants, quelques jours après la tragédie. Sur une note plus positive, j'étais ravie d'être à New York dimanche, alors que l'état devenait le sixième à permettre les mariages homosexuels. Il y avait quelque chose de très émouvant à imaginer ces centaines de couples se massant à l'hôtel de ville, histoire de légaliser leur union.
Je me suis volontairement tenue en retrait des nouvelles, tant internationales que musicales. (Je rattrape le temps perdu en avalant les articles sur la polémique du Festival Verbier et les pré et post-papiers au sujet du passage du Philadelphia Orchestra au Festival Lanaudière.) J'ai bien sûr été atterrée par l'attentat en Norvège et reste renversée par l'onde de paix qui se dégage néanmoins des habitants, quelques jours après la tragédie. Sur une note plus positive, j'étais ravie d'être à New York dimanche, alors que l'état devenait le sixième à permettre les mariages homosexuels. Il y avait quelque chose de très émouvant à imaginer ces centaines de couples se massant à l'hôtel de ville, histoire de légaliser leur union.
samedi 21 mai 2011
Tag de 7
Cela faisait longtemps que je n'avais été taguée mais bon, n'est-ce pas, je n'étais pas sans ignorer que le fameux Tag de 7 sévissait ces jours-ci sur le Net. Comme il fait beau, que c'est un long week-end ici, et que c'est cette cher Kikine qui m'a taguée, j'obtempère. C'est bien parce que c'est toi, Kikine, hein?
1- Remercier la personne qui vous a donné ce prix.
Merci Kikine... et, non, cela n'entachera aucunement notre amitié. (Te voilà rassurée, si?)
2- Mettre le logo sur votre blog.

3- Mettre le lien vers la personne qui vous l'a envoyé.
Suivez le jeu, c'est fait en 1.
4- Dévoiler 7 choses sur nous.
Hum, sept d'un coup, comme dans Le vaillant petit tailleur, quoi... Bon, allez, je me lance...
1- On devrait m'élever un autel en tant que reine de la maladresse. Si, si, j'insiste, Kikine n'est sans aucun doute qu'une vague amatrice à côté de moi. Dernière preuve en date, cette semaine. Entre deux cours, j'ai enjambé la barrière du chien (ceux qui me connaissent se rappelleront que mes jambes sont très longues et que, donc, la chose devrait être assez aisée, surtout que la barrière fait à peine 1/2 mètre de haut). En franchissant la chose, j'ai réussi à me coincer la pantoufle dans le prélart qui retrousse pile à cet endroit (il faut que je règle le problème pendant le week-end), la barrière est donc sortie de ses points d'appui, m'est rentrée dans la cuisse, et je suis tombée, avec beaucoup de grâce (hum!), devant témoins (trois de mes élèves, leur petite sœur et la mère!) sur le côté gauche de ma mâchoire. Ma lèvre ressemblait à celle d'un boxeur en quelques secondes. J'ai passé le reste de la soirée d'enseignement à tamponner d'un sac de glaçons tantôt ma lèvre (qui n'a pas gonflé au final, ouf) et ma cuisse. Le lendemain matin, j'examine la situation de ma cuisse: deux lignes de peau arrachée et un vague bleu. Pfff! presque rien, sauf l'élancement. Le soir, par contre, quand j'ai retiré mon jean, j'ai constaté que le bleu faisait alors plus de 15 cm de diamètre (sans blague, j'ai sorti la règle, après avoir poussé un léger cri quand même!). C'est vraiment de toute beauté, je vous assure. On oublie les shorts et la mini-jupe pour quelque temps, disons... Évidemment, pour une fois, ils annoncent potable!
2- J'ai pris des leçons de violoncelle alors que j'avais 16 ans. J'ai toujours adoré le son de l'instrument, mais avais beaucoup (trop) de difficulté à repartir à zéro. Je préférais nettement travailler 3 heures de piano que 20 minutes de violoncelle. J'ai donc abandonné les cours après un an et quelque mais continue de beaucoup aimer l'instrument et suis ravie quand je peux accompagner une sonate pour l'instrument.
3- J'ai joué au soccer dans une équipe féminine adulte pendant plusieurs années. Je déteste le jogging, mais courir après un ballon, ça, je peux. En plus, le soccer est le sport parfait pour les pianistes, puisqu'il est interdit (sauf quand on est gardien de but, position que j'ai toujours refusé d'occuper) d'y toucher avec les mains.
4- Comme Kikine, je déteste perdre du temps le matin et me transformer « en fille ». Inutile de pouvoir considérer mater mes cheveux (je ne crois pas aux miracles) et le maquillage, à quoi ça sert? Je suis et reste un garçon manqué, sauf quand je décide de jouer le grand jeu et d'y aller pour la totale. Là, en général, les gens ne me reconnaissent pas! Lors d'une fête il y a quelques mois, une copine a pensé que c'était ma sœur (je n'en ai pas) qui avait répondu à son coup de sonnette en me découvrant en femme fatale.
5- Je n'aime pas trop le shopping (sauf en librairie) mais craque depuis moins d'un an pour les chaussures John Fluevog, faites au Canada depuis 40 ans, de façon écoresponsable et qui ont une pêche d'enfer. J'en possède maintenant trois paires, dont une, le modèle Operetta Viardot, avec des notes de musique sous la semelle. Oui, je m'assume!
6- Je déteste les spectacles d'humoristes et ne comprends absolument pas pourquoi ils remplissent leurs salles sans faire aucun effort. Je ne suis pas dénuée d'humour (du moins j'espère), mais de rire grassement avec 2000 autres, le concept me dépasse.
7- J'adore la crème glacée et peux en manger été comme hiver sans hésitation. C'est sans doute la faute de ma mère qui, enceinte de moi, en mangeait tous les jours ou presque semble-t-il.
5- Nommer 7 blogs qui devront faire comme vous…
Ouf, tout le monde a déjà répondu non?
J'ose peut-être taguer Venise, Adrienne, No, Caro_Carito et Jules. Oui, je sais compter, ça ne fait pas sept. Peu importe. Ceux qui souhaiteraient se réapproprier ce tag sont tous les bienvenus.
6- Mettre le lien des 7 blogs.
C'est fait.
7- Prévenir les personnes concernées…
Je vous aime tous quand même, hein?
1- Remercier la personne qui vous a donné ce prix.
Merci Kikine... et, non, cela n'entachera aucunement notre amitié. (Te voilà rassurée, si?)
2- Mettre le logo sur votre blog.

3- Mettre le lien vers la personne qui vous l'a envoyé.
Suivez le jeu, c'est fait en 1.
4- Dévoiler 7 choses sur nous.
Hum, sept d'un coup, comme dans Le vaillant petit tailleur, quoi... Bon, allez, je me lance...
1- On devrait m'élever un autel en tant que reine de la maladresse. Si, si, j'insiste, Kikine n'est sans aucun doute qu'une vague amatrice à côté de moi. Dernière preuve en date, cette semaine. Entre deux cours, j'ai enjambé la barrière du chien (ceux qui me connaissent se rappelleront que mes jambes sont très longues et que, donc, la chose devrait être assez aisée, surtout que la barrière fait à peine 1/2 mètre de haut). En franchissant la chose, j'ai réussi à me coincer la pantoufle dans le prélart qui retrousse pile à cet endroit (il faut que je règle le problème pendant le week-end), la barrière est donc sortie de ses points d'appui, m'est rentrée dans la cuisse, et je suis tombée, avec beaucoup de grâce (hum!), devant témoins (trois de mes élèves, leur petite sœur et la mère!) sur le côté gauche de ma mâchoire. Ma lèvre ressemblait à celle d'un boxeur en quelques secondes. J'ai passé le reste de la soirée d'enseignement à tamponner d'un sac de glaçons tantôt ma lèvre (qui n'a pas gonflé au final, ouf) et ma cuisse. Le lendemain matin, j'examine la situation de ma cuisse: deux lignes de peau arrachée et un vague bleu. Pfff! presque rien, sauf l'élancement. Le soir, par contre, quand j'ai retiré mon jean, j'ai constaté que le bleu faisait alors plus de 15 cm de diamètre (sans blague, j'ai sorti la règle, après avoir poussé un léger cri quand même!). C'est vraiment de toute beauté, je vous assure. On oublie les shorts et la mini-jupe pour quelque temps, disons... Évidemment, pour une fois, ils annoncent potable!
2- J'ai pris des leçons de violoncelle alors que j'avais 16 ans. J'ai toujours adoré le son de l'instrument, mais avais beaucoup (trop) de difficulté à repartir à zéro. Je préférais nettement travailler 3 heures de piano que 20 minutes de violoncelle. J'ai donc abandonné les cours après un an et quelque mais continue de beaucoup aimer l'instrument et suis ravie quand je peux accompagner une sonate pour l'instrument.
3- J'ai joué au soccer dans une équipe féminine adulte pendant plusieurs années. Je déteste le jogging, mais courir après un ballon, ça, je peux. En plus, le soccer est le sport parfait pour les pianistes, puisqu'il est interdit (sauf quand on est gardien de but, position que j'ai toujours refusé d'occuper) d'y toucher avec les mains.
4- Comme Kikine, je déteste perdre du temps le matin et me transformer « en fille ». Inutile de pouvoir considérer mater mes cheveux (je ne crois pas aux miracles) et le maquillage, à quoi ça sert? Je suis et reste un garçon manqué, sauf quand je décide de jouer le grand jeu et d'y aller pour la totale. Là, en général, les gens ne me reconnaissent pas! Lors d'une fête il y a quelques mois, une copine a pensé que c'était ma sœur (je n'en ai pas) qui avait répondu à son coup de sonnette en me découvrant en femme fatale.
5- Je n'aime pas trop le shopping (sauf en librairie) mais craque depuis moins d'un an pour les chaussures John Fluevog, faites au Canada depuis 40 ans, de façon écoresponsable et qui ont une pêche d'enfer. J'en possède maintenant trois paires, dont une, le modèle Operetta Viardot, avec des notes de musique sous la semelle. Oui, je m'assume!
6- Je déteste les spectacles d'humoristes et ne comprends absolument pas pourquoi ils remplissent leurs salles sans faire aucun effort. Je ne suis pas dénuée d'humour (du moins j'espère), mais de rire grassement avec 2000 autres, le concept me dépasse.
7- J'adore la crème glacée et peux en manger été comme hiver sans hésitation. C'est sans doute la faute de ma mère qui, enceinte de moi, en mangeait tous les jours ou presque semble-t-il.
5- Nommer 7 blogs qui devront faire comme vous…
Ouf, tout le monde a déjà répondu non?
J'ose peut-être taguer Venise, Adrienne, No, Caro_Carito et Jules. Oui, je sais compter, ça ne fait pas sept. Peu importe. Ceux qui souhaiteraient se réapproprier ce tag sont tous les bienvenus.
6- Mettre le lien des 7 blogs.
C'est fait.
7- Prévenir les personnes concernées…
Je vous aime tous quand même, hein?
vendredi 18 mars 2011
Quatre bougies
En principe, mon bloganniversaire est le 15 mars mais, n'est-ce-pas, le 15 étant jour de Recrue, cela me semblait tout de même plus pertinent de mettre en lumière une nouvelle auteure que de souligner les quatre ans de ce modeste rejeton. Et puis, à quatre ans, quand même, on peut bien célébrer son anniversaire trois jours en retard, non?
Moi qui n'ai jamais réussi à écrire dans un journal plus de quelques jours de suite, je signe pourtant ici mon 686e billet. Pourquoi ai-je choisi cette fois de m'inscrire dans la durée? Parce que le médium me plait, bien sûr, mais aussi par pur plaisir de partager lectures, concerts, sorties, coups de cœur et à l'occasion coups de gueule. Et puis aussi, parce que, loin de souhaiter me réfugier derrière mon écran d'ordi, j'ai aussi eu le plaisir de rencontrer quelques-uns d'entre vous dans la « vraie vie ». Et ça, pour citer l'annonce bien connue, « cela n'a pas pas de prix ».
Et, parce que, malgré la névrose du climat qui est le mien, on veut croire au printemps, en partage, à écouter, le très belle relecture de Blackbird de Brad Mehldau. (Ne cherchez pas l'image...)
Moi qui n'ai jamais réussi à écrire dans un journal plus de quelques jours de suite, je signe pourtant ici mon 686e billet. Pourquoi ai-je choisi cette fois de m'inscrire dans la durée? Parce que le médium me plait, bien sûr, mais aussi par pur plaisir de partager lectures, concerts, sorties, coups de cœur et à l'occasion coups de gueule. Et puis aussi, parce que, loin de souhaiter me réfugier derrière mon écran d'ordi, j'ai aussi eu le plaisir de rencontrer quelques-uns d'entre vous dans la « vraie vie ». Et ça, pour citer l'annonce bien connue, « cela n'a pas pas de prix ».
Et, parce que, malgré la névrose du climat qui est le mien, on veut croire au printemps, en partage, à écouter, le très belle relecture de Blackbird de Brad Mehldau. (Ne cherchez pas l'image...)
samedi 5 mars 2011
Pluie
Vous ronchonnez car on annonce de la pluie cet après-midi et que cela vous coupe toute possibilité de pratiquer vos sports d'hiver préférés? Tout dépend peut-être du type de pluie annoncé, non? Quand elle se transforme sous les doigts de Perpetuum Jazzile, c'est quand même autre chose.
samedi 1 janvier 2011
Somewhere...
Parce que, quelle meilleure façon d'aborder la nouvelle année en douceur qu'en musique...
Que l'année qui se dessine soit remplie de tendresse, de musique, de lectures, de découvertes, d'amitié, d'amour.
En partage, le grand Keith, aussi pertinent aujourd'hui qu'hier...
Que l'année qui se dessine soit remplie de tendresse, de musique, de lectures, de découvertes, d'amitié, d'amour.
En partage, le grand Keith, aussi pertinent aujourd'hui qu'hier...
jeudi 23 décembre 2010
Village global
J'aime que, grâce à la technologie, les frontières entre les gens et les continents disparaissent. Cette semaine, j'ai reçu un appel de l'Orchestre royal du Maroc qui souhaitait réutiliser un de mes articles, écrit en 1999. (C'est fou comme on change en 11 ans; j'ai donc procédé à quelques ajustements essentiels.) J'en ai profité pour échanger avec son directeur sur les difficultés de transmettre la musique classique dans un pays musulman, qui n'a pas toujours les références pour l'apprécier, notamment la critique, inexistante ou presque.
Et puis, ce midi, alors que j'espérais un cadeau d'anniversaire pris quelque part entre l'Allemagne et ici, je reçois un cadeau de Noël et une carte estampillée de Paris, totalement inattendus. J'admets que j'aurais de la difficulté à vivre sans le courriel, l'Internet, skype, MSN, les postiers, mais surtout sans le plaisir de pouvoir échanger librement.
Et si, au fond, Noël, ce n'était que ça: écouter l'autre, en sachant qu'il nous écoute aussi attentivement. Je reste persuadée que le monde s'en porterait certainement mieux!
Joyeuses fêtes à vous!
Et puis, ce midi, alors que j'espérais un cadeau d'anniversaire pris quelque part entre l'Allemagne et ici, je reçois un cadeau de Noël et une carte estampillée de Paris, totalement inattendus. J'admets que j'aurais de la difficulté à vivre sans le courriel, l'Internet, skype, MSN, les postiers, mais surtout sans le plaisir de pouvoir échanger librement.
Et si, au fond, Noël, ce n'était que ça: écouter l'autre, en sachant qu'il nous écoute aussi attentivement. Je reste persuadée que le monde s'en porterait certainement mieux!
Joyeuses fêtes à vous!
jeudi 16 décembre 2010
La lecture en cadeau
C'est mon anniversaire aujourd'hui et j'espère pouvoir voler quelques minutes pour lire en cours de journée. Pas évident, entre textes à rédiger et leçons à donner mais, bon, n'est-ce pas, ce pourrait être sympa de prendre, disons, dix minutes - quinze tout au plus - et d'avoir l'impression de faire l'école buissonnière... et terminer Sept écrivains pour Mozart, pas du tout ce que je pensais comme bouquin, mais très sympa. En fait, les auteurs des textes tracent des parallèles entre des auteurs classiques (dont Goethe, Pouchkine et Kiekegaard) et Mozart. Les a-t-il influencés? Comment parlent-ils de lui dans leurs livres? J'ai ainsi appris par exemple que Goethe avait écrit une suite à la Flûte enchantée et qu'il souhaitait même la proposer à Mozart pour qu'il en écrive la musique. Ce cher auteur n'avait malheureusement pas eu vent du décès du compositeur. (Je n'ose imaginer le choc qu'il a dû ressentir quand un ami a dû lui annoncer la chose.)
Et puis après (demain peut-être), je pense que je plongerai dans L'appel de la rivière, suite de La société des jeunes pianistes de Ketil Bjornstad. Un coupon de 30 % de rabais sur un livre, deux jours seulement (hier ou aujourd'hui) m'a convaincue de céder à la (trop grande) tentation.
Et pour vous faire sourire... écho peut-être au swap musique et littérature... J'ai reçu mon paquet annuel (le facteur est vraiment mon héros!) de la part de mon amie américaine (nous étions colocataires à l'université) et voilà ce qui s'y cachait notamment... oui, mes élèves sont tous très jaloux!

Et pour vous faire sourire... écho peut-être au swap musique et littérature... J'ai reçu mon paquet annuel (le facteur est vraiment mon héros!) de la part de mon amie américaine (nous étions colocataires à l'université) et voilà ce qui s'y cachait notamment... oui, mes élèves sont tous très jaloux!
vendredi 2 avril 2010
Joyeuses Pâques
Je n'ai jamais dissimulé mon amour inconditionnel pour la comédie musicale et l'ère de gloire de la MGM et les extravagants numéros dansés qu'on intégrait alors aux films. (soupir...)
Me plongerai-je dans un des nombreux livres qui me font de l'œil (dont le dernier Paul Auster!) ou cèderai-je à la tentation de revoir Easter Parade ce week-end? Entre les deux, mon cœur balance... Ah, ce cher Fred quand même... quel danseur!
Bisous chocolatés à tous!
EDIT: Vive la programmation de billets raté! Avant de partir en week-end prolongé, j'ai programmé ce billet... pour le mois d'avril 2011. Oups! Et, pour les curieux, je n'ai pas regardé le film mais lu! Je vous en reparle dans les prochains jours.
Me plongerai-je dans un des nombreux livres qui me font de l'œil (dont le dernier Paul Auster!) ou cèderai-je à la tentation de revoir Easter Parade ce week-end? Entre les deux, mon cœur balance... Ah, ce cher Fred quand même... quel danseur!
Bisous chocolatés à tous!
EDIT: Vive la programmation de billets raté! Avant de partir en week-end prolongé, j'ai programmé ce billet... pour le mois d'avril 2011. Oups! Et, pour les curieux, je n'ai pas regardé le film mais lu! Je vous en reparle dans les prochains jours.
lundi 15 mars 2010
Trois ans
Presque rien, je sais... et pourtant! Un 15 mars, il y a trois ans, je déposais un premier billet ici. Ai-je pensé à ce moment-là que je m'inscrirais dans une certaine durée? Pas vraiment. Savais-je que je rencontrerais plusieurs personnes formidables grâce à ce canal d'expression unique? Non plus. Alors, regardons en avant, tout simplement! Maestro, musique!
vendredi 1 janvier 2010
Et si on y croyait...
Pour amorcer la nouvelle année, pourquoi ne pas joindre notre vie à celle de gens de 156 pays différents et entonner All you need is love... Et si on y mettait toute notre conviction, aujourd'hui mais aussi tout le reste de l'année?
Changer le monde, un petit geste à la fois, c'est possible! Bonne année 2010!
Changer le monde, un petit geste à la fois, c'est possible! Bonne année 2010!
vendredi 25 décembre 2009
Un joyeux Noël...
En partage, deux versions de l'une de mes chansons de Noël préférées...
Celle d'Ella Fitzgerald d'abord, plus up swing...
Puis celle de Judy Garland, tirée du film Meet me in St. Louis quie, comme par hasard, m'attendait sous le sapin.... (Je suis offert de moi-même à moi-même deux coffrets de comédies musicales des belles années MGM puis on les a emballés à ma place.)
Joyeux Noël à tous!
Celle d'Ella Fitzgerald d'abord, plus up swing...
Puis celle de Judy Garland, tirée du film Meet me in St. Louis quie, comme par hasard, m'attendait sous le sapin.... (Je suis offert de moi-même à moi-même deux coffrets de comédies musicales des belles années MGM puis on les a emballés à ma place.)
Joyeux Noël à tous!
vendredi 25 septembre 2009
Question osée du vendredi
J'allais tranquillement déposer la question qui suit ici quand j'ai bifurqué par le blogue d'un ami et ai appris le décès de Nelly Arcan. J'avais lu Folle, avais été à la fois fascinée par la qualité de l'écriture de la dame et presque révulsée par le côté voyeur de l'entreprise. Touchée irrémédiablement, je n'ai jamais osé lire autre chose d'elle, hormis quelques chroniques échappées d'un Ici qui traînait.
En même temps, elle aurait peut-être bien été l'auteure qui se serait le moins offusquée de la question qui m'a été posée par des amis il y a quelques jours à peine et que je vous poserai ici. Dans un monde magique et idéal, vous pouvez passer une nuit avec un être polymorphe qui changera de personnalité (et d'apparence) quatre fois au cours d'une même soirée. Qui sera-t-il lors des préliminaires, de l'acte lui-même, des câlins qui suivront et de la conversation dite de l'oreiller (avec ou sans cigarette, selon l'époque et les lieux). Une difficulté supplémentaire ici: ces quatre personnes doivent être des personnalités, vivantes ou décédées (donc votre amoureux/se ne se qualifie pas). J'ai hésité longuement et ai même reformulé ma réponse trois fois. E
n toute impudeur, je vous livre ma réponse du moment. Après tout, l'amour, réel ou imaginé, est souvent une denrée fort volatile.
Je confierais donc les préliminaires à David Bowie (je n'ai possédé qu'un seul poster d'un chanteur rock dans toute mon existence...), me laisserait emporter par le jeune Ivo Pogorelich (celui avec des cheveux, qui jouait merveilleusement et avait un charme fou pour séduire les femmes, même quand il s'est habillé après son veuvage d'un tailleur féminin pour une séance de photos pour le magazine Piano), me blottirais contre Alessandro Barrico et parlerais jusqu'à l'épuisement avec Paul Auster.
Dans la « vraie » (hum!) vie et non sur l'oreiller, j'aimerais bien écouter David Bowie me parler de son périple jusqu'ici mais je serais sans doute fort intimidée (tout comme si j'interviewais n'importe lequel de ces quatre artistes). Mais, après tout, j'ai déjà interviewé Dieu lui-même (Brendel) et je suis encore ici pour en parler...
Et vous, des réponses à partager?
En même temps, elle aurait peut-être bien été l'auteure qui se serait le moins offusquée de la question qui m'a été posée par des amis il y a quelques jours à peine et que je vous poserai ici. Dans un monde magique et idéal, vous pouvez passer une nuit avec un être polymorphe qui changera de personnalité (et d'apparence) quatre fois au cours d'une même soirée. Qui sera-t-il lors des préliminaires, de l'acte lui-même, des câlins qui suivront et de la conversation dite de l'oreiller (avec ou sans cigarette, selon l'époque et les lieux). Une difficulté supplémentaire ici: ces quatre personnes doivent être des personnalités, vivantes ou décédées (donc votre amoureux/se ne se qualifie pas). J'ai hésité longuement et ai même reformulé ma réponse trois fois. E

Je confierais donc les préliminaires à David Bowie (je n'ai possédé qu'un seul poster d'un chanteur rock dans toute mon existence...), me laisserait emporter par le jeune Ivo Pogorelich (celui avec des cheveux, qui jouait merveilleusement et avait un charme fou pour séduire les femmes, même quand il s'est habillé après son veuvage d'un tailleur féminin pour une séance de photos pour le magazine Piano), me blottirais contre Alessandro Barrico et parlerais jusqu'à l'épuisement avec Paul Auster.
Dans la « vraie » (hum!) vie et non sur l'oreiller, j'aimerais bien écouter David Bowie me parler de son périple jusqu'ici mais je serais sans doute fort intimidée (tout comme si j'interviewais n'importe lequel de ces quatre artistes). Mais, après tout, j'ai déjà interviewé Dieu lui-même (Brendel) et je suis encore ici pour en parler...
Et vous, des réponses à partager?
lundi 6 avril 2009
Impressionnant
La voix humaine peut tout faire, absolument tout. Vous en doutez? Bon début de semaine à tous.
dimanche 15 mars 2009
Deux ans
Eh oui, le temps file sans qu'on s'en rende trop compte et cela fait deux ans que j'ai déposé un premier billet ici. Merci de votre présence, de vos commentaires et pour les découvertes partagées au fil des semaines. Santé!
vendredi 26 décembre 2008
Entre deux bouchées...
Au milieu du tohubohu du temps des fêtes (et parce que je repousse le moment de faire une vaisselle monstrueuse ce matin), un petit coucou, quelque peu décousu...
Certains curieux voudront peut-être savoir si j'ai reçu des livres pour Noël... Toute une pression quand on doit offrir un livre à quelqu'un qui lit beaucoup. Enfin, c'est ce que mon mari m'a laissé sous-entendre, impressionné qu'il est sans doute par ma PAL, les livres que je lis dans le cadre de La Recrue, mes visites à la bibliothèque, mes lectures musicologiques... Alors, j'ai magasiné mon propre cadeau cette année, enfin presque. J'ai acheté deux livres, le dernier Goncourt et le dernier Yasmina Khadra, les ai rapportés à la maison et lui ai dit d'en envelopper un et que l'autre serait donné à ma mère. (Je me doute bien qu'il y aura éventuellement retour du dit livre dans ma bibliothèque, ma mère habitant en appartement et refusant de s'encombrer de livres de façon permanente. Admirez la ruse ici. Pour la petite histoire, j'ai déballé Ce que le jour doit à la nuit de Khadra le 24.) Mais certains proches, des « littéraires », ont quand même osé me donner des livres, dont La beauté du geste de Catherine David, que j'ai très hâte de lire (un écrit qui analyse le rapport entre le piano et le taï-chi-chuan) ou La terre nous est étroite de Mahmoud Darwich, un livre de poésie qui me plongera dans un univers très lointain.
Alors, prêts pour une autre bouchée de tourtière? Euh, moi non plus... Mais si vous souhaitez prolonger Noël en musique, vous pouvez aussi m'entendre ici dans Sainte-Nuit et là dans un Premier Noël Satiesque ...
Si vous préférez Mozart...
Mozart Sonate K330 (Andante) - Lucie Renaud
Certains curieux voudront peut-être savoir si j'ai reçu des livres pour Noël... Toute une pression quand on doit offrir un livre à quelqu'un qui lit beaucoup. Enfin, c'est ce que mon mari m'a laissé sous-entendre, impressionné qu'il est sans doute par ma PAL, les livres que je lis dans le cadre de La Recrue, mes visites à la bibliothèque, mes lectures musicologiques... Alors, j'ai magasiné mon propre cadeau cette année, enfin presque. J'ai acheté deux livres, le dernier Goncourt et le dernier Yasmina Khadra, les ai rapportés à la maison et lui ai dit d'en envelopper un et que l'autre serait donné à ma mère. (Je me doute bien qu'il y aura éventuellement retour du dit livre dans ma bibliothèque, ma mère habitant en appartement et refusant de s'encombrer de livres de façon permanente. Admirez la ruse ici. Pour la petite histoire, j'ai déballé Ce que le jour doit à la nuit de Khadra le 24.) Mais certains proches, des « littéraires », ont quand même osé me donner des livres, dont La beauté du geste de Catherine David, que j'ai très hâte de lire (un écrit qui analyse le rapport entre le piano et le taï-chi-chuan) ou La terre nous est étroite de Mahmoud Darwich, un livre de poésie qui me plongera dans un univers très lointain.
Alors, prêts pour une autre bouchée de tourtière? Euh, moi non plus... Mais si vous souhaitez prolonger Noël en musique, vous pouvez aussi m'entendre ici dans Sainte-Nuit et là dans un Premier Noël Satiesque ...
Si vous préférez Mozart...
Mozart Sonate K330 (Andante) - Lucie Renaud
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