Y a-t-il trop de livres sur le marché? Les Québécois sont-ils devenus ignares? Pourquoi assiste-t-on au phénomène de surmédiatisation de certains titres (reste-t-il encore quelqu'un sur la planète qui n'a pas lu Le Code Da Vinci?) aux dépends de la qualité de certains autres? Nicolas Dickner se penche sur la question dans sa chronique de la semaine.
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