On annonçait en début de semaine que les concerts présentés à la Chapelle historique du Bon-Pasteur seraient peut-être bien chose du passé à la fin de la présente saison. Un lieu pourtant d'une grande chaleur, très convivial, qui a vu défilé aussi bien artistes en émergence que vedettes confirmées... Le Devoir y consacrait il y a quelques jours un article qu'on peut lire ici.
Particulièrement intéressants sont les témoignages des principaux intervenants du milieu classique montréalais mais aussi, dans les commentaires des lecteurs, ceux des compositeurs Denys Bouliane et Denis Gougeon. En tant que musiciens classiques, parlons-nous un langage devenu si désuet? Constat inquiétant...
1 commentaire:
Ce n'est pas le langage qui est désuet, mais je dirais notre incapacité comme musiciens classiques à exiger la place qui nous revient. Il faut parler fort et ne pas plier l'échine face à des élus trop souvent ignares et incultes. Et mes mots sont pesés.
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