« Un concours, ça ne change pas le monde, sauf que… » Si les
téléréalités semblent entretenir le mirage de la célébrité instantanée,
l’univers de la musique classique croit toujours en la nécessité
d’offrir aux jeunes artistes des défis à la hauteur de leurs
aspirations.
Ainsi, en juin 2002, le Concours Musical International de Montréal
couronnait sa première lauréate, Measha Brueggergosman, soprano
canadienne qui mène depuis une carrière stellaire, qui l’a propulsée au
sommet des palmarès, sur les grandes scènes du monde ou aux cérémonies
d’ouverture des Olympiques de Vancouver.
Devenu un incontournable du
circuit des concours internationaux grâce à l’excellence de ses
candidats, la notoriété de son jury, la générosité de ses bourses et les
multiples engagements proposés aux gagnants, le CMIM a reçu cette année
159 inscriptions de 31 pays. De ceux-ci, ils restent huit finalistes (dont 3 Canadiens), qui, accompagnés par l'Orchestre symphonique de Montréal sous la direction d'Alain Trudel, tenteront de séduire jury stellaire et public gourmand.
Si, comme moi, vous avez raté quelques récitals de demi-finales, vous pouvez vous rattraper ici... Les finales seront diffusées en direct à partir de 19 h 30 à la même adresse. Pour ma part, je serai en salle.
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