La danse peut-elle tout exprimer, de la légèreté presque désincarnée à la violence la plus sublimée? Zone Homa proposait hier un programme qui semblait vouloir faire la preuve que, même lorsque l’on croit avoir tout vu, tout ressenti, une décomposition inattendue d’un mouvement, une nouvelle façon d’aborder un langage pourtant balisé peut mener le spectateur si non dans un espace entièrement étranger, du moins offrir un éclairage différent.
La soirée s’articulait autour de deux axes. Le premier, volontiers plus ludique, Laboratoire vivant II : Bêta, une conception originale de Sébastien Talbot, sollicitait la participation du public qui s’est amusé ferme à assembler des séquences chorégraphiques et à parfois semer volontairement des embuches sur le trajet des interprètes, juxtaposant des segments dans la salle ou sur scène.
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Marika Dumoulin Lafond, photo d'Emilie Tournevache |
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