Révolté par le verdict, l’amoureux d’un soir entreprend de sauver la belle, se déguise en femme pour la retrouver, séduit le prétendant éconduit et tente de lui faire entendre raison. Ce faisant, il croise la route de la sœur de la condamnée, amour d’adolescence qu’il croyait oublié, qui elle aussi a décidé, par le truchement d’un déguisement d’intervenir. Le sujet reste d’une rare gravité (comment peut-on rire de la lapidation?), mais Gustave Akakpo réussit à en tirer une pièce à tiroirs, hommage aux classiques de Molière et de Beaumarchais (impossible de ne pas penser ici au Mariage de Figaro), au rythme effréné, sans failles apparentes.
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1 commentaire:
Et hop, un petit tag chez moi si le coeur te dit. Sinon, juste une façon de dire que je pense à toi :)
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