Le Repas des fauves est l’une de ces productions qui font envie sur papier : une pièce montée plus de 600 fois à Paris, lauréate de trois Molières, un page d’histoire qui sert de toile de fond à l’expression de la lâcheté humaine, une distribution toutes étoiles, une metteure en scène qui n’en est certes plus à ses premières armes… On voudrait souscrire à la proposition, saluer la pertinence du texte, la densité du jeu des acteurs, mais cela se révèle impossible ici.
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