L'Allemagne et son cinéma continuent de m'habiter, alors qu'hier j'ai vu le documentaire My name is not Ali, qui revient sur une histoire assez ténébreuse du parcours très tumultueux du mythique réalisateur Rainer Werner Fassbinder et que cet après-midi, je me propose de voir le premier long métrage de Lars-Gunnar Lotz, Schuld sind immer die Anderen (C'est toujours la faute des autres), ayant déjà remporté quelques prix. L'oreille se fait, tranquillement mais sûrement, les sous-titres servant plus de filet que de bouée.
Mais aujourd'hui, c'est une autre Allemagne que je veux partager avec vous, celle du père de tous les musiciens, Bach, revue par l'exceptionnel chorégraphe espagnol Nacho Duato, auquel le film Danse la danse, présenté ce week-end au FFM est consacré.
4 commentaires:
à propos d'amour de Bach: je suis en train de lire Anna Enquist, Contrapunt :-)
je devrais mettre Glenn Gould pendant que je lis mais j'ai du mal à me concentrer sur la musique quand je suis plongée dans une histoire...
Écoute la variation en question juste avant de lire le chapitre :)
Un très beau souvenir de lecture pour moi...
C'est très beau !
Le corps comme instrument de musique... J'aime beaucoup cette fluidité dans l'enchaînement des pas et des gestes ; je sais par expérience que la musique de Bach laisse peu de place aux respirations de l'interprète...
Il faut les prendre, ces respirations, en tant qu'interprète, sinon on meurt (et l'auditeur aussi)!
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