Entre les deux guerres, New York a vécu au rythme de la renaissance de Harlem, effervescence dont le rayonnement déborderait largement des frontières des États-Unis. Harlem détrône Chicago comme capitale du jazz, les riches Blancs se pressant au Cotton Club et au Savoy Ballroom, les autres fréquentant plutôt les boîtes de Lenox Avenue, y découvrant le swing. Les plus grands noms s’y produisent, dont Duke Ellington, Louis Armstrong, Count Basie, Billie Holliday et Fats Waller, autour duquel s’articule en partie la revue Ain’t Misbehavin, titre de l’un de ses plus grands succès. D’abord montée en version cabaret, puis sur Broadway en 1978, elle serait présentée plus de 1600 fois au cours des quatre années qui suivraient et deviendrait la première revue musicale à recevoir le Tony de meilleure comédie musicale.
Ici, pas de numéro à grand déploiement, de paillettes frivoles et de jeunes femmes levant haut la jambe. Les créateurs Murray Horwitz et Richard Maltby Jr ont souhaité rendre hommage à une époque magique et à ses créateurs les plus influents.
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La production se poursuit jusqu'au 20 octobre.
2 commentaires:
Aaaah... et dire que je ne pourrai pas aller à Montréal avant fin novembre! Dur!
C'est vrai que c'est ton genre, ça! :)
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