© Catherine Asselin-Boulanger |
Omnibus propose ces jours-ci un programme double mettant en lumière le travail de Sylvie Chartrand et d’Yves Marc. Deux univers à des lieues l’un de l’autre certes, mais néanmoins complémentaires, qui permettent de mieux comprendre le langage du corps.
En une vingtaine de minutes, Splendeur et misère d’une courtisane propose une réflexion protéiforme sur la marchandisation de la femme. Sur une trame travaillée par le spécialiste en électroacoustique Yves Daoust, à laquelle se greffent aussi bien les confidences de Lily, véritable escorte, qu’un texte lu par Simone Chartrand, l’interprète et plasticienne Sylvie Chartrand (qui œuvre depuis 12 ans au sein d’Omnibus) raconte l’histoire de cette femme, de toutes les femmes.
Vêtue d’un corset noir, de bas résille, d’une ample chemise d’homme blanche, elle retrace par une gestuelle éloquente un parcours de la noirceur vers une lumière toute relative.
Pour lire le reste de ma critique, passez sur le site de Jeu...
Jusqu'au 26 octobre à Espace libre
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