« Le 5 septembre, une petite fille s'est réveillée sans père. Une mère s'est réveillée sans fils. Un peuple s'est réveillé dans l'effroi. Et la première femme premier ministre du Québec voyait sa victoire historique assombrie par une tragédie.
Autour de l'église Saint-Donat, où avait lieu la cérémonie de commémoration nationale en l'honneur de Denis Blanchette, une foule émue. Beaucoup avaient du mal à trouver les mots pour exprimer leur peine. Car que peut-on bien dire à une mère inconsolable qui a perdu son fils dans de telles circonstances? Que peut-on bien dire à ceux qui le pleurent et dont la vie est bouleversée à tout jamais? Comment expliquer l'inexplicable?
Il y a de ces moments où presque tous les mots sonnent creux. De ces moments où le seul réconfort d'une épaule vaut mieux que mille discours. De ces moments où le silence respectueux est le meilleur hommage qui soit. »
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