Un texte de Thomas Gunzig nostalgique, parfois caustique, des pages
musicales porteuses qui nous font voyager de Vivaldi à Gorecki, des
maquettes qui semblent prendre vie sous le regard habile de la caméra de
Jaco Van Dormeal, des mains qui racontent, se métamorphosent, émeuvent,
chorégraphiées par Michèle Anne De Mey et Gregory Grosjean. Même si on a
lu au sujet du spectacle, visionné quelques extraits, rien ne nous
prépare entièrement à ce voyage sur le fil, entre rêve et réalité, hier
et aujourd’hui, le geste de création et sa réception.
Collaboration autant que confrontation entre les univers en apparence
parallèles du cinéma, de la danse, du théâtre et de la littérature, Kiss & Cry reste un objet protéiforme par nature, néanmoins organique, presque magique.
Pour lire la suite de ma critique sur le site de Jeu...
En complément, un des numéros de ce spectacle que l'on peut découvrir ces jours-ci à l'Usine C.
Une plage de Carlos Paredes, découvert lors de ce spectacle, qui me hante depuis.
1 commentaire:
Magnifique :) Merci pour le partage Lucie. C'est fascinant ce que peut exprimer le langage des mains.
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