vendredi 26 avril 2013

Kiss & Cry: démultiplier l'émotion

Un texte de Thomas Gunzig nostalgique, parfois caustique, des pages musicales porteuses qui nous font voyager de Vivaldi à Gorecki, des maquettes qui semblent prendre vie sous le regard habile de la caméra de Jaco Van Dormeal, des mains qui racontent, se métamorphosent, émeuvent, chorégraphiées par Michèle Anne De Mey et Gregory Grosjean. Même si on a lu au sujet du spectacle, visionné quelques extraits, rien ne nous prépare entièrement à ce voyage sur le fil, entre rêve et réalité, hier et aujourd’hui, le geste de création et sa réception.

Collaboration autant que confrontation entre les univers en apparence parallèles du cinéma, de la danse, du théâtre et de la littérature, Kiss & Cry reste un objet protéiforme par nature, néanmoins organique, presque magique.

Pour lire la suite de ma critique sur le site de Jeu...

En complément, un des numéros de ce spectacle que l'on peut découvrir ces jours-ci à l'Usine C.


Une plage de Carlos Paredes, découvert lors de ce spectacle, qui me hante depuis.

1 commentaire:

Topinambulle a dit…

Magnifique :) Merci pour le partage Lucie. C'est fascinant ce que peut exprimer le langage des mains.