Plus que deux jours avant la fin du festival et c'est le moment de jeter un coup d’œil aux ajouts à la programmation, certains films ayant séduit les foules étant de nouveau présentés. Parmi ceux-ci, vous ne voudrez pas rater
Aujourd'hui, 13 h 30, Cinémathèque québécoise, Kraftwerk - Pop art. Si, comme moi, vous avez raté la soirée avec DJ proposée jeudi dernier, mais vouez un intérêt certain au mythique groupe allemand (mais n'êtes pas nécessairement prêts à débourser 65 $ pour les voir en spectacle demain soir), ce film est pour vous.
Aujourd'hui 18 h 30 à l'UQÀM - Salle 1, Le défi des bâtisseurs - La cathédrale de Strasbourg, un film très fouillé qui vous en mettra plein la vue, tourné en 3D relief, qui nous plonge dans la construction de ce majestueux édifice, à travers documents d'époque, entretiens, séquences de fiction et images de synthèse.
Demain 16 h, Musée des beaux-arts de Montréal – Auditorium Maxwell-Cummings, un programme quadruple qui comprend deux films que j'ai vus, Tadao Ando, l'architecte du vide et de l'infini, magnifique hommage au grand architecte, et Jean Nouvel and the Tormented Concerthouse qui traite de la conception de la Maison de la radio danoise de Copenhague, un superbe objet qui a tout de même coûté son poste à son initiateur.
Demain à 18 h 30 au Musée des beaux-arts de Montréal – Auditorium Maxwell-Cummings, The new Rijksmuseum 3 et The new Rijksmuseum 4 qui évoque le processus absolument fascinant de la rénovation du plus célèbre musée des Pays-Bas, projet qui a duré 10 ans.
Demain à 18 h 30 à l'UQÀM - Salle 1, Cosi fan tutte, production filmée de la mise en scène fort réussie de Michael Haneke (réalisateur notamment du Ruban blanc et d'Amour). Des heures magiques en compagnie de Mozart et un dénouement absolument surprenant.
Demain à 18 h 30 toujours, Auditorium de la Grande bibliothèque, un doublé exceptionnel pour les mélomanes: Happy Birthday Claudio Abbado et surtout Maurizio Pollini,de main de maître, plus récent documentaire de Bruno Monsaingeon, consacré à un des géants du piano du 20e siècle. Absolument fascinant de revoir le jeune Pollini de 18 ans remporter le Concours Chopin, de serrer la main de Rubinstein, de danser même à ses côtés lors d'une soirée de gala, mais surtout de comprendre comment la carrière de Pollini s'est développée au cours des décennies.
2 commentaires:
Bonjour Lucie, j'ai eu l'occasion de voir sur la chaîne Arte en France, "Le défi des bâtisseurs, la cathédrale de Strasbourg": j'avais trouvé ce film passionnant et je pense avoir appris beaucoup de choses. Bonne après-midi.
C'est en effet un film fascinant et j'ai beaucoup aimé le montage, moins "linéaire" que dans plusieurs cas. Les documentaires sont souvent si sages...
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